Pourquoi suis-je devenue diététicienne ? partie 1

[cmsmasters_row data_shortcode_id= »tg1sp4am7o » data_padding_bottom_mobile_v= »0″ data_padding_top_mobile_v= »0″ data_padding_bottom_mobile_h= »0″ data_padding_top_mobile_h= »0″ data_padding_bottom_tablet= »0″ data_padding_top_tablet= »0″ data_padding_bottom_laptop= »0″ data_padding_top_laptop= »0″ data_padding_bottom_large= »0″ data_padding_top_large= »0″ data_padding_bottom= »50″ data_padding_top= »0″ data_bg_parallax_ratio= »0.5″ data_bg_size= »cover » data_bg_attachment= »scroll » data_bg_repeat= »no-repeat » data_bg_position= »top center » data_color= »default » data_bot_style= »default » data_top_style= »default » data_padding_right= »3″ data_padding_left= »3″ data_width= »boxed »][cmsmasters_column data_width= »1/1″ data_shortcode_id= »mtsjyjsflf » data_border_style= »default » data_animation= »bounceIn » data_animation_delay= »0″][cmsmasters_text shortcode_id= »sddca34pg » animation_delay= »0″]

Pourquoi suis-je devenue diététicienne ?

Quand Marie ma stagiaire m’a posé cette question ça m’a replongée dans tout mon parcours pour devenir la praticienne que je suis maintenant.

Cela m’a ramenée à l’école primaire, donc déjà tôt. J’ai commencé à observer le comportement de mes proches de mes camarades, face au corps, aux représentations de la beauté, de l’alimentation et des injonctions. En CE2 j’ai pu constater qu’il y avait une pression autour du poids et du paraître, forte et difficile au quotidien.

En grandissant j’ai constaté que chez mes copines (surtout mais chez certains copains aussi) cette pression n’avait fait qu’empirer. Des copines au régime, d’autres avec des comportements alimentaires violents. Le corps était devenu un problème à résoudre. La solution utilisé était : le contrôle. Nos mères se trouvaient trop grosses et nous aussi. (ou trop plates, maigres ou trop ceci et pas assez cela)
Le mal-être se ressentait chez beaucoup de mes proches. Je sentais que peu d’entre eux étaient vraiment satisfaits de leur enveloppe corporelle. Ça parlait régimes à tout va. J’ai expérimenté ce contrôle moi aussi, non sans souffrance.
C’est donc d’abord cet aspect qui m’a interpellée. Je voulais comprendre et aider les gens que j’aimais à être plus doux envers eux même car comme j’avais pu le ressentir: c’était douloureux et chronophage de ne pas s’aimer.
Les années sont passées et est venue l’heure de choisir des études et un métier: plusieurs pistes me donnaient envie: l’écriture (mais je manquais de confiance), sage femme, psychologue, ou diététicienne.

Suite dans le prochain post..

[/cmsmasters_text][/cmsmasters_column][/cmsmasters_row]